Coronavirus et l’écologie - Le bon côté des choses
- Jack Adam'S Dieujuste
- 30 avr. 2020
- 1 min de lecture
« La lutte contre le réchauffement climatique ne passe pas par l’épidémie de coronavirus, même si cette dernière a permis, avec le ralentissement de l’activité économique, de réduire les émissions de gaz à effet de serre », a affirmé le secrétaire général de l’ONU Antonio Guterres.

En effet, les impacts de ce fléau pandémique ne constituent pas que des conséquences négatives. Ces effets peuvent aussi se révéler positifs. À l’évidence, ils ne se réalisent pas seuls et ne viennent pas avec la maladie. Au contraire, ils sont amenés par la logique et les actions humaines. Par exemple, le confinement et l’arrêt de nombreuses usines industrielles. Les répercussions engendrées par ces décisions sont reflétées sur la nature. Des milliers de manufactures d’entreprises ferment et arrêtent leur production. Ce sont des milliers de tonnes de gaz à effet de serre de moins qui sont rejetées par jour. C’est une bénédiction pour l'environnement.
« Le débit quotidien est passé de 35 780 à 22 230 véhicules du 11 au 17 mars, une chute de 38 % » a déclaré Transports Québec à La Presse. Si nous pensons logiquement, 38 % moins de véhicules équivaut à 38 % moins de GES (Gaz à Effet de Serre) émis par la circulation et le transport automobile.
Au bout du compte, la nature reprend, lentement mais sûrement, des forces. Restons optimistes, car ce confinement ne cause pas que du stress et de l’ennui, mais, aussi bref soit-il, un temps de repos et de restauration.
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